La Jérusalem écossaise
Les mémoires de la doyenne des Loges maçonniques
Cette histoire de la Jerusalem écossaise apporte un témoignage original et éclairant sur la vie maçonnique depuis la première moitié du 18éme siècle jusqu'à nos jours. Il s'agit très certainement du plus vieil Atelier maçonnique français en activité, malheureusement mal connu, voire ignoré. De surcroît cette histoire remet en question bon nombre d'idées reçues sur la Franc-Maçonnerie.
La Jérusalem Ecossaise a été mêlée de près aux différents avatars de l'Ecossisme, mais aussi de la vie profane ou politique : l'un des premiers Ateliers de hauts grades à son origine en 1749 à Saint Domingue qui s'adjoint rapidement les 3 premiers degrés, puis s'inscrit non sans difficultés au Tableau des Loges du Grand Orient en 1776, allume ses feux à Paris en 1807, se rallie au suprême conseil en 1845, plante son étendard sur les barricades de la Commune de Paris, participe à la création et au combat de la grande loge symbolique écossaise, fonde l'Obédience mixte du droit humain, pour finir par se rallier à la Grande Loge de France en 1901.
De nombreuses sources alimentent cet opuscule : les archives de cet Atelier, mais aussi sur de nombreux fonds maçonniques (Grande Loge de France, Grand Orient, BNF, Documents SHARP, Archives Nationales, de la Marine, fonds divers...). D'abondants témoignages d'époque sont soigneusement retranscrits, en s'efforçant de donner vie aux principaux et prestigieux personnages qui ont animé la Jerusalem écossaise, parmi les plus célèbres Etienne Morin, Moreau de Saint Mery, Paul Dussouchet, Henri Lemaire, Emile Thirifocq, Georges Martin, ou Richard Dupuy.
Cet ouvrage permettra au lecteur curieux comme à l'historien de pénétrer les préoccupations des acteurs de cet Atelier confrontés au contexte social et sociétal.
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La Jérusalem écossaise
Les mémoires de la doyenne des Loges maçonniques
Cette histoire de la Jerusalem écossaise apporte un témoignage original et éclairant sur la vie maçonnique depuis la première moitié du 18éme siècle jusqu'à nos jours. Il s'agit très certainement du plus vieil Atelier maçonnique français en activité, malheureusement mal connu, voire ignoré. De surcroît cette histoire remet en question bon nombre d'idées reçues sur la Franc-Maçonnerie.
La Jérusalem Ecossaise a été mêlée de près aux différents avatars de l'Ecossisme, mais aussi de la vie profane ou politique : l'un des premiers Ateliers de hauts grades à son origine en 1749 à Saint Domingue qui s'adjoint rapidement les 3 premiers degrés, puis s'inscrit non sans difficultés au Tableau des Loges du Grand Orient en 1776, allume ses feux à Paris en 1807, se rallie au suprême conseil en 1845, plante son étendard sur les barricades de la Commune de Paris, participe à la création et au combat de la grande loge symbolique écossaise, fonde l'Obédience mixte du droit humain, pour finir par se rallier à la Grande Loge de France en 1901.
De nombreuses sources alimentent cet opuscule : les archives de cet Atelier, mais aussi sur de nombreux fonds maçonniques (Grande Loge de France, Grand Orient, BNF, Documents SHARP, Archives Nationales, de la Marine, fonds divers...). D'abondants témoignages d'époque sont soigneusement retranscrits, en s'efforçant de donner vie aux principaux et prestigieux personnages qui ont animé la Jerusalem écossaise, parmi les plus célèbres Etienne Morin, Moreau de Saint Mery, Paul Dussouchet, Henri Lemaire, Emile Thirifocq, Georges Martin, ou Richard Dupuy.
Cet ouvrage permettra au lecteur curieux comme à l'historien de pénétrer les préoccupations des acteurs de cet Atelier confrontés au contexte social et sociétal.
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