De la violence de genre à la négation du droit

De la violence de genre à la négation du droit

Selon la théorie du genre, les femmes sont victimes d'une violence structurelle, à tous les niveaux et jusqu'au plus intime des catégories du langage.

A l'instar d'autres législations européennes, la loi française du 9 juillet 2010 relative aux violences faites spécifiquement aux femmes institue la violence psychologique en délit pénal, passible de plusieurs années de prison ferme, et de dizaines de milliers d'euros d'amende.

Dans ce bref essai, l'auteur réfute la théorie du genre, interroge la sexualisation de la violence psychologique, et décrit la résurgence de l'arbitraire au sein du droit pénal européen.

« J'ai apprécié cet essai qui m'a appris beaucoup de choses sur la théorie de Butler, qui m'apparaît comme un façon non seulement provocatrice mais fausse de poser des vrais problèmes sociaux sur la condition féminine (et masculine). »
Pr. Henri Atlan, École des hautes études en sciences sociales (EHESS)

« Cet essai est une remarquable mise au jour de la subversion du droit par l'idéologie. L'auteur montre comment, de la "théorie du genre" à l'institution du délit pénal de "violence psychologique", on commet un double crime contre le droit et contre l'esprit. »
Pr. Henri Lepage

« Excellent. Nous en arrivons au délire! Que cela ne fasse pas oublier que les femmes par ailleurs continuent à être les victimes de traditions absurdes. »
Pr. Alain Boyer (Paris IV-Sorbonne)

« J'ai lu avec passion ce livre. La rigueur et l'humour m'ont enchanté ! » Mgr André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles