La Tour Eiffel est le symbole de Paris et du génie de l'homme. Elle s'impose, avec sa hauteur, son défi au ciel, sa nature mystérieuse.
Elle m'apparaît comme un grand A, qui m'inonde, pétillant de lumière.
Je pense surtout à Robert Delaunay, qui est peut-être son plus grand poète. Et aussi à Apollinaire, Cendrars, Aragon, ses chanteurs.
La Tour Eiffel restera à jamais une légende, dans mon coeur et dans mon esprit.
Je relis le texte de Roland Barthes sur la Tour Eiffel, sublime comme d'habitude (La Tour Eiffel, photographies d'André Martin, Paris, Delpire, 1964).
Et je retiens ce qui correspond à moi-même : la Tour est un « belvédère », un « balcon », une « harmonie » sur le « paysage », peu importe que ce soit celui de Paris.
La Tour Eiffel m'apparaît comme « le symbole de la modernité » et simultanément comme « le symbole de l'ascension ». « Elle se perd dans le ciel », légère comme le vent qui pénètre ses arabesques.
La Tour Eiffel représente ma « liberté ».
La Tour Eiffel c'est le photogramme de ma vie : de rien aux étoiles, per aspera ad astra. De la terre au ciel.
Elle me dit que chacun de nous pourra avoir la plus belle des issues. Il suffit qu'il le désire et qu'il s'engage, sur la route du Destin, sans avoir peur de rien.
Les rêves sont possibles et réalisables.
Gustave Eiffel a réalisé le sien.
Moi j'ai réalisé le mien.
Qu'il est beau de vivre sous le signe de l'ascension, de la légèreté et de la liberté, à l'image de la Tour Eiffel. [...].
Merci Paris, merci Tour Eiffel : mes utopies se sont accomplies.
Et elles ne sont pas finies.
Je sais que vous me réservez l'horizon de l'Infini, et la route du Nouveau : les lieux que cherchent les poètes.
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La Tour Eiffel est le symbole de Paris et du génie de l'homme. Elle s'impose, avec sa hauteur, son défi au ciel, sa nature mystérieuse.
Elle m'apparaît comme un grand A, qui m'inonde, pétillant de lumière.
Je pense surtout à Robert Delaunay, qui est peut-être son plus grand poète. Et aussi à Apollinaire, Cendrars, Aragon, ses chanteurs.
La Tour Eiffel restera à jamais une légende, dans mon coeur et dans mon esprit.
Je relis le texte de Roland Barthes sur la Tour Eiffel, sublime comme d'habitude (La Tour Eiffel, photographies d'André Martin, Paris, Delpire, 1964).
Et je retiens ce qui correspond à moi-même : la Tour est un « belvédère », un « balcon », une « harmonie » sur le « paysage », peu importe que ce soit celui de Paris.
La Tour Eiffel m'apparaît comme « le symbole de la modernité » et simultanément comme « le symbole de l'ascension ». « Elle se perd dans le ciel », légère comme le vent qui pénètre ses arabesques.
La Tour Eiffel représente ma « liberté ».
La Tour Eiffel c'est le photogramme de ma vie : de rien aux étoiles, per aspera ad astra. De la terre au ciel.
Elle me dit que chacun de nous pourra avoir la plus belle des issues. Il suffit qu'il le désire et qu'il s'engage, sur la route du Destin, sans avoir peur de rien.
Les rêves sont possibles et réalisables.
Gustave Eiffel a réalisé le sien.
Moi j'ai réalisé le mien.
Qu'il est beau de vivre sous le signe de l'ascension, de la légèreté et de la liberté, à l'image de la Tour Eiffel. [...].
Merci Paris, merci Tour Eiffel : mes utopies se sont accomplies.
Et elles ne sont pas finies.
Je sais que vous me réservez l'horizon de l'Infini, et la route du Nouveau : les lieux que cherchent les poètes.
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