De : Seidik Abba
Crise interne au conseil militaire suprême du Niger
Ce livre apporte un éclairage inédit sur une des énigmes les plus coriaces de l'histoire politique récente du Niger : la décision de Seyni Kountché, président du Conseil militaire suprême (CMS), de faire arrêter le 16 juin 1980 le commandant Boulama Manga, un des cerveaux du coup d'État du 15 avril 1974 contre Hamani Diori, premier président du Niger indépendant.
À partir du témoignage exclusif de feu Boulama Manga recueilli à Tunis en 2016, le livre est un récit fluide et accessible en douze chapitres nourris de nombreuses anecdotes croustillantes et de témoignages de première main. Ceux-ci donnent à revisiter ou à découvrir pour la première fois des épisodes structurants de l'histoire politigue contemporaine du Niger : l'arrestation en août 1975 du chef de bataillon Sani Souna Siddo, vice-président du CMS ; la mort de la première dame, Aïssa Diori ; la réconciliation posthume entre Seyni Kountché et Boulama Manga ; la désignation d'Ali Saïbou à la tête du Niger, après la mort le 10 novembre 1987 de Seyni Kountché à Paris.
Enfin, le livre apporte de précieuses clefs pour comprendre la « Kountchémania », sorte de nostalgie de Kountché que vivent aujourd'hui de nombreux Nigériens.
Produit indisponible
Crise interne au conseil militaire suprême du Niger
Ce livre apporte un éclairage inédit sur une des énigmes les plus coriaces de l'histoire politique récente du Niger : la décision de Seyni Kountché, président du Conseil militaire suprême (CMS), de faire arrêter le 16 juin 1980 le commandant Boulama Manga, un des cerveaux du coup d'État du 15 avril 1974 contre Hamani Diori, premier président du Niger indépendant.
À partir du témoignage exclusif de feu Boulama Manga recueilli à Tunis en 2016, le livre est un récit fluide et accessible en douze chapitres nourris de nombreuses anecdotes croustillantes et de témoignages de première main. Ceux-ci donnent à revisiter ou à découvrir pour la première fois des épisodes structurants de l'histoire politigue contemporaine du Niger : l'arrestation en août 1975 du chef de bataillon Sani Souna Siddo, vice-président du CMS ; la mort de la première dame, Aïssa Diori ; la réconciliation posthume entre Seyni Kountché et Boulama Manga ; la désignation d'Ali Saïbou à la tête du Niger, après la mort le 10 novembre 1987 de Seyni Kountché à Paris.
Enfin, le livre apporte de précieuses clefs pour comprendre la « Kountchémania », sorte de nostalgie de Kountché que vivent aujourd'hui de nombreux Nigériens.
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