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Par -40° devant Moscou : la LVF 1941

Le 22 juin 1941, sans déclaration de guerre, les forces allemandes, suivies par leurs armées alliées (Roumanie, Italie, Hongrie, Finlande, Slovaquie), attaquent brusquement l'URSS. La propagande assimile cette attaque à une «croisade contre le bolchevisme». Ainsi, dans presque tous les États d'Europe qui n'ont pu déclarer la guerre à l'URSS (Espagne, Belgique, Pays-Bas, Danemark, Norvège, Croatie...) sont levés des corps de volontaires pour lutter contre l'armée rouge, un peu comme les brigades internationales

durant la guerre d'Espagne. Les conventions de La Haye leur interdisent de combattre hors du cadre de la Wehrmacht et autrement que sous l'uniforme allemand.

En France est ainsi constituée, à Paris, le 6 juillet 1941 une Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) à l'initiative des partis collaborationnistes de zone occupée (PPF, RNP, MSR, etc.), qui fourniront le gros des volontaires. Comme le souhaite l'Allemagne, le gouvernement de Vichy ne participe pas à l'affaire, sinon pour donner son accord de principe (le Maréchal Pétain écrira quand même, quelques mois plus tard, que les légionnaires de la LVF «détiennent une part de l'honneur militaire de la France»).

Très - trop - rapidement formé dans un camp de l'ex-Pologne, le gros du régiment de la LVF doit accomplir une longue marche à pied depuis Smolensk, exactement sur le même itinéraire que la Grande Armée de 1812. Rattaché à une division d'infanterie bavaroise, il sera engagé dès la fin novembre sur le front de Moscou, à seulement 70 kilomètres de la capitale soviétique. Il participera, le 1er décembre, à une vigoureuse attaque et restera en lignes jusqu'au 8 du même mois. Les conditions climatiques épouvantables du moment, le froid terrible, les pieds gelés, videront les rangs plus sûrement et plus rapidement que leur adversaire russe, qui s'accroche au terrain avec une énergie farouche. Au moment de la relève, il ne reste plus sur les rangs que quelques dizaines d'hommes.

La suite de cette aventure a été publiée aux éditions Grancher en deux volumes: La Légion perdue et Sur les pistes de la Russie centrale.

Produit indisponible

Le 22 juin 1941, sans déclaration de guerre, les forces allemandes, suivies par leurs armées alliées (Roumanie, Italie, Hongrie, Finlande, Slovaquie), attaquent brusquement l'URSS. La propagande assimile cette attaque à une «croisade contre le bolchevisme». Ainsi, dans presque tous les États d'Europe qui n'ont pu déclarer la guerre à l'URSS (Espagne, Belgique, Pays-Bas, Danemark, Norvège, Croatie...) sont levés des corps de volontaires pour lutter contre l'armée rouge, un peu comme les brigades internationales

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Très - trop - rapidement formé dans un camp de l'ex-Pologne, le gros du régiment de la LVF doit accomplir une longue marche à pied depuis Smolensk, exactement sur le même itinéraire que la Grande Armée de 1812. Rattaché à une division d'infanterie bavaroise, il sera engagé dès la fin novembre sur le front de Moscou, à seulement 70 kilomètres de la capitale soviétique. Il participera, le 1er décembre, à une vigoureuse attaque et restera en lignes jusqu'au 8 du même mois. Les conditions climatiques épouvantables du moment, le froid terrible, les pieds gelés, videront les rangs plus sûrement et plus rapidement que leur adversaire russe, qui s'accroche au terrain avec une énergie farouche. Au moment de la relève, il ne reste plus sur les rangs que quelques dizaines d'hommes.

La suite de cette aventure a été publiée aux éditions Grancher en deux volumes: La Légion perdue et Sur les pistes de la Russie centrale.

Éditeur
Grancher
Format
Broché
Collection
Témoignages pour l'histoire
Date de parution
2004-06-23
Nombre de pages
396
Dimensions
16.0 x 23.0 x 2.3 cm
Poids
844
EAN
9782733908792

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