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Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle. Vol. 15. Georges Louis Le Rouge : jardins a

Georges Louis Le Rouge, ingénieur géographe du roi au service du comte de Clermont, lieutenant au régiment de Maurice de Saxe, architecte, dessinateur et graveur, se spécialise à partir de 1736 dans l'édition et le négoce, à Paris, de cartes et plans en rapport avec les événements politiques et militaires de son temps. Ses gravures de jardins, oeuvre ultime, publiées entre 1775 et 1789 sous forme de livraisons en cahiers - vingt et un au total - constituent le plus important oeuvre gravé concernant l'histoire des jardins européens du XVIIIe siècle, époque charnière de l'histoire du jardin. Ses relations avec l'Angleterre lui donnent l'opportunité de divulguer en France et en Europe les nouveaux modèles de jardin, déjà publiés par John Rocque et, pour certains, inspirés par l'architecte William Chambers, auteur d'une Dissertation sur le jardinage de l'Orient. Les 491 planches contiennent l'ensemble le plus complet de vues de jardins, qu'ils soient réguliers ou irréguliers, à la mode française, anglaise ou dite anglo-chinoise.

Plans généraux, parterres, bosquets, temples, kiosques, lacs artificiels, rivières enchantées, fermettes, amphithéâtres, pavillons d'inspiration antique, gothique, orientale ou chinoise, mais aussi cascades, fontaines, treillages, ponts, ménageries, volières et serres : à travers l'Europe nous est offert un panorama très vaste sur les jardins les plus représentatifs de France, d'Angleterre, d'Allemagne et d'Italie.

Pour la France, à côté de jardins célèbres comme ceux de la folie Saint-James à Neuilly, du Désert de Retz à Chambourcy, du Trianon de Marie-Antoinette ou des jardins romantiques d'Ermenonville, nombre de jardins inconnus, disparus ou jamais réalisés, à Paris ou en province, nous sont révélés. Les jardins anglais représentés sont peu nombreux, mais nous dévoilent les fabriques, les rochers et autres cascades des jardins de Chiswick, Stowe et de Kew Garden à Londres, sans doute le jardin le plus «moderne». L'Allemagne figure en bonne place avec les jardins de Schwetzingen, la résidence de Würzburg et un cahier entier consacré au Bagno Park de Burgsteinfurt. Mais la partie la plus originale concerne les jardins de l'empereur de Chine, dont les gravures ont été faites à partir d'originaux peints ou gravés, conservés au département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France.

En introduction à ce quinzième volume de la série «Inventaire du fonds français. Graveurs français du XVIIIe siècle» du département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France, qui comprend 483 notices illustrées, un texte de Bernard Korzus nous livre des éléments inédits sur la vie et l'oeuvre de Le Rouge ; il est complété par une étude d'Elisabetta Cereghini sur ces recueils hétérogènes de jardins, représentatifs d'un nouvel engouement pour les jardins dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle.

Des annexes et des index (auteurs, géographique et matière) guident le lecteur dans cet univers fascinant des jardins du XVIIIe siècle, reflets du phénomène socio-culturel appelé jadis «jardinomania».

Georges Louis Le Rouge, ingénieur géographe du roi au service du comte de Clermont, architecte, dessinateur et graveur, se spécialise à partir de 1736 dans l'édition et le négoce, à Paris, de cartes et plans en rapport avec les événements politiques et militaires de son temps. Ses gravures de jardins constituent le plus important oeuvre gravé concernant l'histoire des jardins européens du XVIIIe siècle, époque charnière de l'histoire du jardin.

Pour la France, à côté de jardins célèbres comme ceux de la folie Saint-James à Neuilly, du Désert de Retz à Chambourcy, du Trianon de Marie-Antoinette ou des jardins romantiques d'Ermenonville, nombre de jardins inconnus, disparus ou jamais réalisés, à Paris ou en province, nous sont révélés. Les jardins anglais représentés sont peu nombreux, mais nous dévoilent les fabriques, les rochers et autres cascades des jardins de Chiswick, Stowe et de Kew Garden à Londres, sans doute le jardin le plus «moderne». L'Allemagne figure en bonne place avec les jardins de Schwetzingen, la résidence de Würzburg et un cahier entier consacré au Bagno Park de Burgsteinfurt. Mais la partie la plus originale concerne les jardins de l'empereur de Chine, dont les gravures ont été faites à partir d'originaux peints ou gravés.

Outre le catalogue de 483 notices illustrées, un texte de Bernard Korzus nous livre des éléments inédits sur la vie et l'oeuvre de Le Rouge ; il est complété par une étude d'Elisabetta Cereghini sur ces recueils hétérogènes de jardins, représentatifs d'un nouvel engouement pour les jardins dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Des annexes et des index (auteurs, géographique et matière) guident le lecteur dans cet univers fascinant des jardins du XVIIIe siècle.

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Georges Louis Le Rouge, ingénieur géographe du roi au service du comte de Clermont, lieutenant au régiment de Maurice de Saxe, architecte, dessinateur et graveur, se spécialise à partir de 1736 dans l'édition et le négoce, à Paris, de cartes et plans en rapport avec les événements politiques et militaires de son temps. Ses gravures de jardins, oeuvre ultime, publiées entre 1775 et 1789 sous forme de livraisons en cahiers - vingt et un au total - constituent le plus important oeuvre gravé concernant l'histoire des jardins européens du XVIIIe siècle, époque charnière de l'histoire du jardin. Ses relations avec l'Angleterre lui donnent l'opportunité de divulguer en France et en Europe les nouveaux modèles de jardin, déjà publiés par John Rocque et, pour certains, inspirés par l'architecte William Chambers, auteur d'une Dissertation sur le jardinage de l'Orient. Les 491 planches contiennent l'ensemble le plus complet de vues de jardins, qu'ils soient réguliers ou irréguliers, à la mode française, anglaise ou dite anglo-chinoise.

Plans généraux, parterres, bosquets, temples, kiosques, lacs artificiels, rivières enchantées, fermettes, amphithéâtres, pavillons d'inspiration antique, gothique, orientale ou chinoise, mais aussi cascades, fontaines, treillages, ponts, ménageries, volières et serres : à travers l'Europe nous est offert un panorama très vaste sur les jardins les plus représentatifs de France, d'Angleterre, d'Allemagne et d'Italie.

Pour la France, à côté de jardins célèbres comme ceux de la folie Saint-James à Neuilly, du Désert de Retz à Chambourcy, du Trianon de Marie-Antoinette ou des jardins romantiques d'Ermenonville, nombre de jardins inconnus, disparus ou jamais réalisés, à Paris ou en province, nous sont révélés. Les jardins anglais représentés sont peu nombreux, mais nous dévoilent les fabriques, les rochers et autres cascades des jardins de Chiswick, Stowe et de Kew Garden à Londres, sans doute le jardin le plus «moderne». L'Allemagne figure en bonne place avec les jardins de Schwetzingen, la résidence de Würzburg et un cahier entier consacré au Bagno Park de Burgsteinfurt. Mais la partie la plus originale concerne les jardins de l'empereur de Chine, dont les gravures ont été faites à partir d'originaux peints ou gravés, conservés au département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France.

En introduction à ce quinzième volume de la série «Inventaire du fonds français. Graveurs français du XVIIIe siècle» du département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France, qui comprend 483 notices illustrées, un texte de Bernard Korzus nous livre des éléments inédits sur la vie et l'oeuvre de Le Rouge ; il est complété par une étude d'Elisabetta Cereghini sur ces recueils hétérogènes de jardins, représentatifs d'un nouvel engouement pour les jardins dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle.

Des annexes et des index (auteurs, géographique et matière) guident le lecteur dans cet univers fascinant des jardins du XVIIIe siècle, reflets du phénomène socio-culturel appelé jadis «jardinomania».

Georges Louis Le Rouge, ingénieur géographe du roi au service du comte de Clermont, architecte, dessinateur et graveur, se spécialise à partir de 1736 dans l'édition et le négoce, à Paris, de cartes et plans en rapport avec les événements politiques et militaires de son temps. Ses gravures de jardins constituent le plus important oeuvre gravé concernant l'histoire des jardins européens du XVIIIe siècle, époque charnière de l'histoire du jardin.

Pour la France, à côté de jardins célèbres comme ceux de la folie Saint-James à Neuilly, du Désert de Retz à Chambourcy, du Trianon de Marie-Antoinette ou des jardins romantiques d'Ermenonville, nombre de jardins inconnus, disparus ou jamais réalisés, à Paris ou en province, nous sont révélés. Les jardins anglais représentés sont peu nombreux, mais nous dévoilent les fabriques, les rochers et autres cascades des jardins de Chiswick, Stowe et de Kew Garden à Londres, sans doute le jardin le plus «moderne». L'Allemagne figure en bonne place avec les jardins de Schwetzingen, la résidence de Würzburg et un cahier entier consacré au Bagno Park de Burgsteinfurt. Mais la partie la plus originale concerne les jardins de l'empereur de Chine, dont les gravures ont été faites à partir d'originaux peints ou gravés.

Outre le catalogue de 483 notices illustrées, un texte de Bernard Korzus nous livre des éléments inédits sur la vie et l'oeuvre de Le Rouge ; il est complété par une étude d'Elisabetta Cereghini sur ces recueils hétérogènes de jardins, représentatifs d'un nouvel engouement pour les jardins dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Des annexes et des index (auteurs, géographique et matière) guident le lecteur dans cet univers fascinant des jardins du XVIIIe siècle.

Auteur(s)
EAN
9782717723083
Format
Relié sous jaquette
Nombre de pages
286
Éditeur
Bibliothèque nationale de France, Connaissance et mémoires
Date de parution
2004-09-20
Poids
1300
Dimensions
Collection
Série
Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle

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