La critique de cinéma est un art d'une rare finesse. Elle exige du doigté, de la diplomatie, de la dentelle, de la tenue et une haute exigence spirituelle. Ce que François Forestier résume en une phrase, après avoir vu un film : «C'est de la daube !»
Depuis vingt ans, il impose sa mauvaise humeur et ses goûts douteux aux lecteurs de L'Obs - les malheureux ! Voici réunies ses chroniques de CinéObs, où il aborde des sujets aussi essentiels, au cinéma, que la censure, les nanars, le bon goût, les cons, les Hot d'Or, les remakes, le cul, Marine Le Pen (sans qu'il y ait un rapport avec le terme précédent), la folie des stars, le Botox, Jean-Luc Godard.
Après 101 nanars et Le retour des 101 nanars, voici un panorama du cinéma d'aujourd'hui, sur le mode de la mauvaise foi la plus totale. Résumons-nous : ça bastonne.
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La critique de cinéma est un art d'une rare finesse. Elle exige du doigté, de la diplomatie, de la dentelle, de la tenue et une haute exigence spirituelle. Ce que François Forestier résume en une phrase, après avoir vu un film : «C'est de la daube !»
Depuis vingt ans, il impose sa mauvaise humeur et ses goûts douteux aux lecteurs de L'Obs - les malheureux ! Voici réunies ses chroniques de CinéObs, où il aborde des sujets aussi essentiels, au cinéma, que la censure, les nanars, le bon goût, les cons, les Hot d'Or, les remakes, le cul, Marine Le Pen (sans qu'il y ait un rapport avec le terme précédent), la folie des stars, le Botox, Jean-Luc Godard.
Après 101 nanars et Le retour des 101 nanars, voici un panorama du cinéma d'aujourd'hui, sur le mode de la mauvaise foi la plus totale. Résumons-nous : ça bastonne.
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