Jean Garnier est né en 1937 le jour de la Saint-Jean, fête patronale de son petit village de Puy-Aillaud, situé dans la commune de Vallouise. Très tôt animé d'une imagination vive et doué pour l'écriture, il fréquente l'école communale de Puy-Aillaud, et sera classé premier du canton à l'obtention du certificat d'études à quatorze ans.
Le décès prématuré de sa mère alors qu'il n'a que neuf ans marquera toute sa vie et lui laissera à jamais un grand vide. Aîné de trois enfants, il est obligé de seconder son père à la ferme.
À vingt ans, il passe 27 mois en Algérie dans les Djebels. À son retour perturbé par ces événements, trouvant son travail à la ferme très dur et sans grand rapport, il suit des cours par correspondance, et décroche un C.A.P d'électricien. Puis, il s'engage pour quelques années dans les compagnons du devoir du tour de France, période dont il profite pour obtenir un brevet de maîtrise et un B.T.S d'électricité. Grâce à ses diplômes, il intègre un grand groupe industriel, Malgré la nostalgie que lui inspire son village natal, c'est à Grenoble qu'il fondera sa famille.
Toujours hanté par le désir d'écrire, il retrace aujourd'hui un peu de sa vie dans ce recueil de poésies en patois, traduites en français.
D'une enfance marquée par la perte d'un être cher, dans un petit village des Hautes-Alpes, jusqu'à la nostalgie d'un adulte
obligé de quitter sa vallée en passant par les angoisses d'un jeune appelé en Algérie: Le patois au service des sentiments.
Les poésies contenues dans ce recueil, sont écrites dans le patois de Vallouise, petit village des Hautes-Alpes situé au milieu des montagnes, au pied de la fameuse barre des Écrins. Cette vallée de Vallouise, est une vallée de transition, où les idiomes sont mal fixés, l'accent, les vocabulaires et les grammaires changent d'un village à l'autre. Ce pauvre dialecte n'a pratiquement jamais été écrit, si ce n'est au début du vingtième siècle, monsieur Chysostome Lagier avait fait un essai avec quelques belles poésies en patois. Je lui rends ici un grand hommage.
Les patois se transforment tellement vite qu'ils meurent à petits feux. L'auteur, très attaché à ses origines et aux traditions, a voulu essayer de conserver ce parler Vallouisien si chaud à son coeur, car «la langue d'une vallée c'est son âme.»
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Jean Garnier est né en 1937 le jour de la Saint-Jean, fête patronale de son petit village de Puy-Aillaud, situé dans la commune de Vallouise. Très tôt animé d'une imagination vive et doué pour l'écriture, il fréquente l'école communale de Puy-Aillaud, et sera classé premier du canton à l'obtention du certificat d'études à quatorze ans.
Le décès prématuré de sa mère alors qu'il n'a que neuf ans marquera toute sa vie et lui laissera à jamais un grand vide. Aîné de trois enfants, il est obligé de seconder son père à la ferme.
À vingt ans, il passe 27 mois en Algérie dans les Djebels. À son retour perturbé par ces événements, trouvant son travail à la ferme très dur et sans grand rapport, il suit des cours par correspondance, et décroche un C.A.P d'électricien. Puis, il s'engage pour quelques années dans les compagnons du devoir du tour de France, période dont il profite pour obtenir un brevet de maîtrise et un B.T.S d'électricité. Grâce à ses diplômes, il intègre un grand groupe industriel, Malgré la nostalgie que lui inspire son village natal, c'est à Grenoble qu'il fondera sa famille.
Toujours hanté par le désir d'écrire, il retrace aujourd'hui un peu de sa vie dans ce recueil de poésies en patois, traduites en français.
D'une enfance marquée par la perte d'un être cher, dans un petit village des Hautes-Alpes, jusqu'à la nostalgie d'un adulte
obligé de quitter sa vallée en passant par les angoisses d'un jeune appelé en Algérie: Le patois au service des sentiments.
Les poésies contenues dans ce recueil, sont écrites dans le patois de Vallouise, petit village des Hautes-Alpes situé au milieu des montagnes, au pied de la fameuse barre des Écrins. Cette vallée de Vallouise, est une vallée de transition, où les idiomes sont mal fixés, l'accent, les vocabulaires et les grammaires changent d'un village à l'autre. Ce pauvre dialecte n'a pratiquement jamais été écrit, si ce n'est au début du vingtième siècle, monsieur Chysostome Lagier avait fait un essai avec quelques belles poésies en patois. Je lui rends ici un grand hommage.
Les patois se transforment tellement vite qu'ils meurent à petits feux. L'auteur, très attaché à ses origines et aux traditions, a voulu essayer de conserver ce parler Vallouisien si chaud à son coeur, car «la langue d'une vallée c'est son âme.»
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