De : Georges Ayache
La société française à un rapport paradoxal à l'automobile. Elle vénère cette industrie qui crée des millions d'emplois et rappelle de bons souvenirs. Elle traite aussi, dans une quasi indifférence, les conducteurs en délinquants potentiels. L'Etat accable les usagers de la route de taxes, redevances, péages et amendes en tous genres. Les édiles locaux tendent à interdire aux autos l'accès des centres ville au bénéfice des deux roues et des piétons.
De nos jours, l'automobile est accusée de multiplier nuisances et traumatismes. Symbole de progrès et de bien-être, jadis, la « bagnole » est devenue une pestiférée pour les écologistes comme pour le politiquement correct.
« Vaches à lait » pour les uns, « vaches sacrées » pour les autres, le débat s'est aggravé depuis l'instauration du permis à points puis des radars automatiques. L'avenir du conducteur s'écrit désormais en nombres de points à rattraper, en stage à effectuer ou en combines pour échapper aux flashes des radars.
Certes, le nombre des victimes de la route diminue régulièrement. Mais surtout, l'argent des automobilistes rentre à flots continus dans les caisses de l'Etat. Est-ce une fin en soi de pressurer à l'extrême les conducteurs ? Le « tout répressif » ne brouille-t-il pas le message sécuritaire officiel en exaspérant et en déresponsabilisant les conducteurs ?
La solution miracle n'existe pas mais une chose est sûre : ce n'est pas en saignant à blanc l'automobiliste qu'on résoudra les grands problèmes de sociétés, budgétaires ou environnementaux. Ce n'est pas en assassinant les automobilistes qu'on sauvera notre industrie de l'automobile.
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La société française à un rapport paradoxal à l'automobile. Elle vénère cette industrie qui crée des millions d'emplois et rappelle de bons souvenirs. Elle traite aussi, dans une quasi indifférence, les conducteurs en délinquants potentiels. L'Etat accable les usagers de la route de taxes, redevances, péages et amendes en tous genres. Les édiles locaux tendent à interdire aux autos l'accès des centres ville au bénéfice des deux roues et des piétons.
De nos jours, l'automobile est accusée de multiplier nuisances et traumatismes. Symbole de progrès et de bien-être, jadis, la « bagnole » est devenue une pestiférée pour les écologistes comme pour le politiquement correct.
« Vaches à lait » pour les uns, « vaches sacrées » pour les autres, le débat s'est aggravé depuis l'instauration du permis à points puis des radars automatiques. L'avenir du conducteur s'écrit désormais en nombres de points à rattraper, en stage à effectuer ou en combines pour échapper aux flashes des radars.
Certes, le nombre des victimes de la route diminue régulièrement. Mais surtout, l'argent des automobilistes rentre à flots continus dans les caisses de l'Etat. Est-ce une fin en soi de pressurer à l'extrême les conducteurs ? Le « tout répressif » ne brouille-t-il pas le message sécuritaire officiel en exaspérant et en déresponsabilisant les conducteurs ?
La solution miracle n'existe pas mais une chose est sûre : ce n'est pas en saignant à blanc l'automobiliste qu'on résoudra les grands problèmes de sociétés, budgétaires ou environnementaux. Ce n'est pas en assassinant les automobilistes qu'on sauvera notre industrie de l'automobile.
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