Le retour des déportés
Quand les alliés ouvrirent les portes
1945, la guerre est finie. Pour certains, l'attente commence. Celle d'un proche, d'un parent disparu sans laisser de trace. Lorsque les Alliés libèrent les camps, c'est sur l'horreur du système nazi qu'ils ouvrent les portes. Nul n'imaginait l'ampleur et le sens véritable de la « Solution finale ».
Au ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés, Olga Wormser-Migot coordonne pendant « neuf mois mortels » les recherches de personnes déportées. Vingt ans plus tard, elle s'en fera l'historienne en publiant ce livre qui retrace « la découverte au jour le jour, d'août 1944 à mai 1945, de la réalité concentrationnaire ». C'est elle, notamment, qui révèle les atrocités du Struthof, recueille les premiers témoignages d'Auschwitz, fait connaître « l'aventure du Lutetia ».
Devenu un classique, ce travail pionnier raconte « comment on ne savait rien, ou si peu », et permet de « comprendre les incroyables difficultés rencontrées par les femmes et les hommes dont le seul souci était le destin de ceux qui avaient été transportés vers l'Est », écrit Annette Wieviorka dans sa préface.
Produit indisponible
Le retour des déportés
Quand les alliés ouvrirent les portes
1945, la guerre est finie. Pour certains, l'attente commence. Celle d'un proche, d'un parent disparu sans laisser de trace. Lorsque les Alliés libèrent les camps, c'est sur l'horreur du système nazi qu'ils ouvrent les portes. Nul n'imaginait l'ampleur et le sens véritable de la « Solution finale ».
Au ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés, Olga Wormser-Migot coordonne pendant « neuf mois mortels » les recherches de personnes déportées. Vingt ans plus tard, elle s'en fera l'historienne en publiant ce livre qui retrace « la découverte au jour le jour, d'août 1944 à mai 1945, de la réalité concentrationnaire ». C'est elle, notamment, qui révèle les atrocités du Struthof, recueille les premiers témoignages d'Auschwitz, fait connaître « l'aventure du Lutetia ».
Devenu un classique, ce travail pionnier raconte « comment on ne savait rien, ou si peu », et permet de « comprendre les incroyables difficultés rencontrées par les femmes et les hommes dont le seul souci était le destin de ceux qui avaient été transportés vers l'Est », écrit Annette Wieviorka dans sa préface.
Inscrivez-vous à notre newsletter
Ne manquez aucune vente privée, promotion ou nouvelle catégorie de produits !
Ajouter cet article à vos favoris
Vous devez avoir un compte et être connecté pour profiter de cette fonctionnalité.
Me connecter ou m'inscrireVous souhaitez recevoir une alerte dès que le produit suivant sera de nouveau disponible :