N'attisez pas la haine !
« N'attisez pas la haine ! » Tel est le cri d'alarme que lance Nassera Frugier à l'adresse de la République et des politiques face au profond malaise des cités. Celle qui se définit volontiers comme une « Berbère de banlieue », au caractère bien trempé, est née d'une famille de migrants algériens en 1968. Comme tant d'autres, elle a grandi dans un quartier populaire où toutes les conditions de l'intégration étaient alors réunies. Heureuse époque, écrit-elle, douce France où l'ascenseur social fonctionnait encore pour beaucoup...
Mais aujourd'hui, après des années comme assistante sociale engagée sur le terrain, Nassera Frugier ne reconnaît plus ce monde des quartiers, devenus autant de « cités de la peur ». Elle y dénonce la montée du communautarisme et de l'islam radical, l'éclatement des familles et la délinquance des jeunes, les carences éducatives et la ghettoïsation.
Alors, qui aura le courage de tenter un sursaut pour les transformer, sans céder aux extrémismes ou aux démagogies de toutes sortes ? Qui saura motiver les familles à retrouver leur rôle d'autorité, les femmes musulmanes en particulier ? Des pistes existent pour cela. À nos responsables élus et aux citoyens que nous sommes de les saisir sans attendre. Il en va de l'avenir de la République et de notre vivre-ensemble.
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N'attisez pas la haine !
« N'attisez pas la haine ! » Tel est le cri d'alarme que lance Nassera Frugier à l'adresse de la République et des politiques face au profond malaise des cités. Celle qui se définit volontiers comme une « Berbère de banlieue », au caractère bien trempé, est née d'une famille de migrants algériens en 1968. Comme tant d'autres, elle a grandi dans un quartier populaire où toutes les conditions de l'intégration étaient alors réunies. Heureuse époque, écrit-elle, douce France où l'ascenseur social fonctionnait encore pour beaucoup...
Mais aujourd'hui, après des années comme assistante sociale engagée sur le terrain, Nassera Frugier ne reconnaît plus ce monde des quartiers, devenus autant de « cités de la peur ». Elle y dénonce la montée du communautarisme et de l'islam radical, l'éclatement des familles et la délinquance des jeunes, les carences éducatives et la ghettoïsation.
Alors, qui aura le courage de tenter un sursaut pour les transformer, sans céder aux extrémismes ou aux démagogies de toutes sortes ? Qui saura motiver les familles à retrouver leur rôle d'autorité, les femmes musulmanes en particulier ? Des pistes existent pour cela. À nos responsables élus et aux citoyens que nous sommes de les saisir sans attendre. Il en va de l'avenir de la République et de notre vivre-ensemble.
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