Le 15 janvier 2004, le chalutier Bugaled Breizh périt corps et biens au large des Cornouailles, comme aspiré par quelque «force exogène» en 57 secondes exactement. «Je chavire» sont les derniers mots du capitaine à la VHF, puis on entend l'eau s'engouffrer. «Fortune de mer», dit la justice en 2009. Accident nullement naturel, rétorquent les proches. Le jour du drame, au sud du cap Lizard, l'Otan entraînait ses meilleurs sous-marins à la guerre nucléaire en eau peu profonde...
En octobre 2013, les nouvelles investigations réclamées par les parties civiles se heurtent au refus des juges d'instruction. Affaire classée ? Non-lieu ? Ce livre renforce l'intime conviction que le Bugaled Breizh et son équipage - cinq marins - ont été noyés sous un mensonge d'État. Il met en cause un submersible américain en mission d'espionnage, mais aussi le commandant du sous-marin nucléaire d'attaque britannique Turbulent, dont la participation à l'exercice international a été dissimulée par l'Amirauté.
«Dix ans après, écrit Yann Queffélec, ce naufrage reste une énigme. Mais les parties civiles n'en démordent pas et moi non plus : c'est bien un submersible qui s'est pris dans les câbles du Bugaled Breizh en pêche, le précipitant vers le fond. Un chauffard sous la mer aggravant son cas par la fuite, en violation du devoir d'assistance à marins en danger...»
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Le 15 janvier 2004, le chalutier Bugaled Breizh périt corps et biens au large des Cornouailles, comme aspiré par quelque «force exogène» en 57 secondes exactement. «Je chavire» sont les derniers mots du capitaine à la VHF, puis on entend l'eau s'engouffrer. «Fortune de mer», dit la justice en 2009. Accident nullement naturel, rétorquent les proches. Le jour du drame, au sud du cap Lizard, l'Otan entraînait ses meilleurs sous-marins à la guerre nucléaire en eau peu profonde...
En octobre 2013, les nouvelles investigations réclamées par les parties civiles se heurtent au refus des juges d'instruction. Affaire classée ? Non-lieu ? Ce livre renforce l'intime conviction que le Bugaled Breizh et son équipage - cinq marins - ont été noyés sous un mensonge d'État. Il met en cause un submersible américain en mission d'espionnage, mais aussi le commandant du sous-marin nucléaire d'attaque britannique Turbulent, dont la participation à l'exercice international a été dissimulée par l'Amirauté.
«Dix ans après, écrit Yann Queffélec, ce naufrage reste une énigme. Mais les parties civiles n'en démordent pas et moi non plus : c'est bien un submersible qui s'est pris dans les câbles du Bugaled Breizh en pêche, le précipitant vers le fond. Un chauffard sous la mer aggravant son cas par la fuite, en violation du devoir d'assistance à marins en danger...»
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