Neil Young est un monument du rock'n'roll. Un survivant et une icône des swinging seventies, qui a connu plusieurs vies, mené des carrières parallèles, dans des groupes illustres (Buffalo Springfield, Crosby, Stills, Nash & Young, Crazy Horse) ou en solo. Un artiste d'une sincérité absolue, y compris dans ses embardées les plus déroutantes, qui a exploré toutes les pistes musicales, sans se laisser influencer par le «bizness». Et qui n'a jamais cessé de travailler.
Aujourd'hui, à 66 ans, le Canadien de Toronto poursuit ses tournées et enregistre toujours des disques, certes pas tous aussi géniaux que Harvest (1972) ou Rust Never Sleeps (1979), mais jamais banals. Comme son compère Dylan, le seul à qui il puisse être comparé, Young a entamé un «never ending tour», un combat pour les valeurs auxquelles il croit, dont fait partie bien sûr la musique.
Riche en témoignages et en documents inédits, voici le portrait d'un artiste d'exception, brossé avec brio par Durchholz et Graff, deux stars de la rock critique américaine.
Un exercice d'admiration, mais sans nostalgie : «Hey Hey My My / Rock'n'roll can never die».
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Neil Young est un monument du rock'n'roll. Un survivant et une icône des swinging seventies, qui a connu plusieurs vies, mené des carrières parallèles, dans des groupes illustres (Buffalo Springfield, Crosby, Stills, Nash & Young, Crazy Horse) ou en solo. Un artiste d'une sincérité absolue, y compris dans ses embardées les plus déroutantes, qui a exploré toutes les pistes musicales, sans se laisser influencer par le «bizness». Et qui n'a jamais cessé de travailler.
Aujourd'hui, à 66 ans, le Canadien de Toronto poursuit ses tournées et enregistre toujours des disques, certes pas tous aussi géniaux que Harvest (1972) ou Rust Never Sleeps (1979), mais jamais banals. Comme son compère Dylan, le seul à qui il puisse être comparé, Young a entamé un «never ending tour», un combat pour les valeurs auxquelles il croit, dont fait partie bien sûr la musique.
Riche en témoignages et en documents inédits, voici le portrait d'un artiste d'exception, brossé avec brio par Durchholz et Graff, deux stars de la rock critique américaine.
Un exercice d'admiration, mais sans nostalgie : «Hey Hey My My / Rock'n'roll can never die».
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